Le Reiki un très bel outil

                 (1. ère partie)


 

 Reiki, le «Rei» peut être défini comme la conscience suprême qui préside à l’évolution de la vie. La source en fait, L’énergie Divine immanente et omniprésente…


Le «KI» (le QI en chine, le Prana en Inde, la bioélectricité chez les chercheurs), est l’énergie subtile qui anime tous les êtres vivants.




Le «KI» est une manifestation individualisée du «Rei», de même que la flamme d’une bougie allumée n’est qu’une parcelle des possibilités infinies du feu et de lumière.

Cette énergie est présente en nous et s‘écoule à travers un réseau invisible de canaux énergétiques appelés «Méridiens», et elle est maintenue en circulation par des moteurs d’énergie que l’on nomme «Chakras».

L’activation de certains chakras  qui est faite lors de l’initiation du 1er degré, permet à l’énergie Reiki de s’écouler plus intensément, à travers le praticien, qui est en fait un transmetteur, un «canal» reliant le récepteur (un patient ou soi même)au «REI».



Le Reiki naît donc de l’union de Rei et de KI et il peut être défini comme  «la conscience suprême qui guide et harmonise l’Energie vitale présente en chaque être vivant».


Le Reiki est en général définit comme une énergie de guérison naturelle, et l’on peut s’en servir sur soi ou sur les autres.


Mais avant tout un très bel outil de développement personnel qui permet de se découvrir et de garder un équilibre qui nous évitera de « tomber » dans la maladie (car en fait qu’est ce que la « maladie » ?..)

Le mot lui même est très explicite et plein de bon sens, en effet ; «MALADIE = (le) mal a dit», ce mal nous informe par la douleur, le traumatisme, subit par nôtre corps que quelque chose en nous ne va plus, et qu’il faut à ce moment là, faire une introspection en soi, afin de découvrir ce qui nous a affecté, afin de remédier a retrouver nôtre équilibre…..Permettez moi ici, de citer Jean-jacques Crevecoeur…. « Le petit Robert définit la santé comme « un bon état physiologique d’un être vivant ou un fonctionnement régulier et harmonieux de l’organisme pendant une période appréciable ». Le Larousse la  définit comme « l’état de quelqu’un dont l’organisme fonctionne bien ».


Dans ces deux définitions nous retrouvons la même idée. C’est le bon « fonctionnement » de l’organisme qui permet un bon « état » de santé. Remarquons que dans la notion de fonctionnement, nous retrouvons la dimension dynamique, caractéristique des êtres vivants. Tandis que la notion d’état renvoie à quelque chose de statique. On parle couramment de l’état de santé de quelqu’un, ou de l’état d’un malade. Ainsi, la santé ou la maladie ne sont que le résultat (jamais définitif) d’un processus permanent à travers lequel nous maintenons nôtre "équilibre".



Effectivement si vous vous souvenez de l’article sur les «7 piliers du Tao» , le 3ème pilier qui traite du mouvement……vous remarquez que tout est en mouvance permanente dans l’Univers.

La seule chose qui ne change pas c’est bien le changement. Comment le bon fonctionnement de l’organisme peut-il être perturbé, et nous plonger dans un état de santé déficient ?



Pensez au vélo, pour rester en équilibre sur une bicyclette, il vous faut un mouvement dynamique, il vous faut avancer pour ne point choir. Cet équilibre dynamique est maintenu, tant que nous pédalons, mais si quelque chose vient nous perturber sur nôtre chemin, un obstacle pas vu à temps, que le manque de vigilance ne nous a point permis d’éviter,  nous risquons de tomber.

Si nous chutons, il faudra se relever et se soigner, mais aussi la prochaine fois que nous emprunterons ce chemin, nous ferons plus attention, et si le même genre d’obstacle apparaît, nous pourrons l’éviter cette fois ci. Si vous considérez que la composante dynamique du vélo représente vôtre évolution dans la vie, vôtre parcours, avec le « Yin/Yang » des aléas qui parsèment le chemin emprunté, et que malgré toutes les vicissitudes que vous rencontrez, vous restez vigilants et continuez à pédaler, là vous conservez l’équilibre qui vous maintient en vie et en bonne santé, grâce à l’harmonie, physique, psychologique et spirituelle. Mais si durant cette longue ballade qu’est la Vie,
vous ne faites pas attention aux signes, lorsque vôtre véhicule à deux roues empruntent un chemin mal fréquenté, et que malgré les secousses ressenties dans le vélo, vous persistez à suivre ce parcours cahoteux, vous allez tomber par manque de concentration, entêtement et fatigue. (Un travail trop prenant que l’on veut à tout prix réussir alors qu’il serait plus aisé de laisser momentanément de côté, les obligations que l’on se collent sur le dos, le stress des horaires journalières pour rentabiliser, etc…) La fatigue physique s’installe, malgré cela on ne prend pas le temps d’écouter son corps et on continue de plus belle (on pédale encore plus fort…), survient la crampe (1er avertissement, on ferait mieux de choisir la roue libre sur une route de campagne), on continue aveuglé par le « vouloir », et là Patatrass !!!

On se déchire un muscle, le vélo tombe, nous aussi et en plus sur des cailloux tranchants juste histoire de s’ouvrir le genou, choper des microbes qui pourront envahir nôtre corps éreinté par l’effort et aux défenses immunitaires affaiblies, laissant la porte ouverte aux pillards, virus et Cie…


L’équilibre est rompu, le fonctionnement de l’organisme altéré, d’où l’état de santé qui devient déficient, et l’on tombe malade… Plus de notion de dynamique car nous sommes à l’arrêt, tout le contraire du mouvement de la Vie, nous devenons statique.

Donc la maladie est bien un changement d’un état particulier. Et là que nous dit le mal ? Le « (mal) a dit » nous informe, qu’il ne nous faut plus emprunter ce chemin battu, que la prochaine fois que l’on sent les secousses du vélo (un mal de dos, en plein milieu de l’année, par exemple), il nous faut prendre du recul, voir des congés et faire un point sur la situation que l’on vit, afin de mieux repartir, et non s’entêté et rompre cet équilibre si cher à l’individu.


L’état de bien-être, qui nous permet d’avancer dans la vie, il est impératif de le conserver constamment, pour cela une hygiène physique et mentale est primordiale. Il faut à tout prix être toujours, et ce, à chaque instant de nôtre vie, en « parfait accord avec soi même » …Vous me direz qu’il n’est pas aisé de le faire, lorsque tous les jours nous sommes confrontés aux rapports avec les collègues de bureau, le patron, l’époux ou l’épouse, chacun avec ses besoins propres, la famille, les enfants, etc.…


Et pourtant c’est primordial pour conserver cet équilibre (physique, mental, émotionnel,psychologique)garant de son bien-être ,qui donnera un excellent état de santé. Le «REIKI» aide à cela, garder son équilibre, en se connaissant parfaitement, et en connaissant mieux les principes de vie qui nous régissent ainsi que l’univers, connaître ses propres besoins et les limites à respecter pour ne pas «tomber de vélo», tout en respectant les autres, le Reiki va apprendre à se «respecter» Soi d’abord, à «s’aimer», se pardonner pour mieux aller de l’avant, nous rendre plus vigilants afin de ne plus commettre les mêmes erreurs (prendre les mauvais chemins), nous aider à rester dans la dynamique du mouvement de la vie, de nous adapter aux situations douloureuses qui ne manquent jamais d’arriver dans le parcours de l’individu, mieux comprendre les expériences passées afin de se débarrasser des émotions (toujours rattachées à ces dernières), qui nous ont « pollué » dans nos corps physique et énergétiques, agit sur nos organes, et déstabilisé parfois affectivement ou psychologiquement.



Comme nous avons expliqué ce qu’était la maladie, tant que l’être humain ne peut rester dans l’équilibre et tombe souvent dans l’état de malade, c’est pour cela que le Reiki est appelé «énergie de guérison naturelle», car il permet d’aider au rétablissement naturel du «bon état de santé», ou tout simplement  au maintien de celui ci.

 

 Nous verrons dans la 2ème partie, comment il agit concrètement…